Notre Responsable de Programmes Formation et Insertion Professionnelle a effectué une mission au Congo le mois dernier ! A quoi ressemblent ces missions de suivi, à quoi servent-elles ? On vous en donne un aperçu dans cet article. 🙂
Suivre les projets en cours
La mission a ici coincidé avec la mise en route du Projet EMATELI dont l’objectif est de promouvoir l’entrepreneuriat agricole, para-agricole et urbain auprès des jeunes et renforces la société civile congolaise.
Cela a donc été l’occasion d’organiser un atelier de présentation et de démarrage avec le nouveau partenaire principal, le Forum des Jeunes Entreprises du Congo.
Prospecter
Visites de locaux, de partenaires… Les missions sont utiles pour valider l’implémentation de nouveaux dispositifs sur le terrain.
Lors de cette mission, le RPG a donc visité les locaux pour l’installation d’un nouveau Bureau Formation Emploi, a prospecté pour la mise en place de potentiels Bureau Orientation Emploi à Brazzaville au sein de centres de formation existants ou a rencontré les circonscriptions d’Action Sociale en vue de l’implémentation de Bureaux d’Information et d’Orientation Sociale et Professionnelle au Congo. Cela a également été l’occasion de visiter un quartier vulnérable dans une nouvelle zone d’intervention dans le pays, Pointe Noire.
Renforcer les équipes
Aller sur le terrain, c’est aussi proposer des temps d’échanges et de formation aux équipes d’ESSOR et de ses partenaires. Un atelier sur le suivi-évaluation s’est tenu et a permis de revoir les indicateurs de suivi, comment remplir le tableau d’indicateurs ainsi que les procédures de recueil. Des moments importants pour renforcer les compétences des salariés !
Rencontrer les bénéficiaires des projets
C’est toujours une belle satisfaction de constater concrètement les impacts positifs des activités sur les bénéficiaires !
Ainsi, le RPG a pu rencontrer une jeune femme à la fois salariée et en auto-emploi, qui exerce une activité prometteuse dans le domaine de sa formation ! Elle est accompagnée par un organisme de microcrédit et prévoit de réaliser des investissement afin de développer son activité de cuisine/pâtisserie.
Une autre jeune femme couturière, en auto-emploi, a installé un stand de production/vente sur la parcelle familiale. Elle produit pour l’instant en fonction des commandes payées en avance. Un accompagnement dans la gestion est encore nécessaire afin qu’elle puisse dégager une trésorerie.
Ce sont autant d’aspects qui rythment les missions des Responsables de programmes
et Chargés de mission sur le terrain !