Ce projet a été une première pour ESSOR en Guinée-Bissau et a permis d’impliquer 400 jeunes en situation de vulnérabilité en décentralisant la formation professionnelle. Cette approche s’est concentrée sur l’identification de formateurs capables de consolider les compétences des jeunes dans les quartiers et les entreprises. Appelée formation AD HOC, cette méthodologie a permis de collaborer de façon horizontale avec le secteur privé, tant par les rencontres sectorielles que par la co-construction des contenus de formation avec les entreprises. Nous avons ciblé de façon concrète les problématiques de chaque secteur dans lesquels nous sommes intervenus.
Nous avons pu alors accompagner la socialisation du jeune avec la formation humaine et consolider son projet professionnel ciblé sur les lacunes des employés du secteur.
Il est essentiel de poursuivre l’action dans la décentralisation de la formation professionnelle de courte durée ! Pour les prochaines formations, nous mettrons l’accent en grande partie sur les métiers verts. Un diagnostic nous permettra notamment d’identifier de nouvelles opportunités avec des perspectives pérennes.
A voir, l’histoire d’Ana, qui a suivi une formation en électricité !
Projet RESET financé par l’Union Européenne et exécuté par ENABEL, agence de développement belge.